Deux musiciens d’exception se sont réunis sur une terre musicale en suspension, entre est et ouest, passé et présent, tradition et modernité.
Un spectacle empreint d’une spiritualité hors du temps et de l’espace, animé par l’impétuosité des vents d’est.
Surnaturelle, la voix dédoublée du chanteur diphonique de Mongolie Mandaakhai s’élève et s’entrelace, avec celle, presque humaine, de sa vièle à tête de cheval morin khuur, emblème des cultures nomades de Gobi.
Ensorceleuse, Jiang Nan fait rugir les sonorités fauves de l’envoûtante cithare chinoise guzheng, ou file des épures mélodiques tendues par l’émotion. En contrepoint, le cristal de sa voix fait sonner un blues du fleuve Bleu.
Incroyable !
Groupe local
Enjoy the cuivre et viens avec ta tante, ton chien, tes tics, ton voisin,
aujourd'hui on danse dans la rue, faut qu'ça gratte et qu'ça pouêt, viens !
Une fanfare au son Brass-Cumbia, Hip-Orleans et Balkan-Hop.
La Chorale de Puivert chantera avec amour et convivialité.
Si ça vous chante, vous transportera d'un monde à l'autre, de leurs voix toutes différentes.
Si ça vous chante, venez les écouter d'une oreille attentive et voyageuse, de l'Occident à l'Orient, de l'Europe à l'Asie, de l'Afrique à l'Amérique.
An diaz ['ndiaz] n.m. (mot breton : diazez « base, fondement »)
Riche d’une solide expérience acquise dans les festoù-noz, les quatre complices affirment leur conception de la transe avec une musique à danser ouverte sur le monde. Avec la danse en rond pour fondation, les musiques populaires du monde comme horizon, et l’improvisation comme ligne de fuite, ‘Ndiaz invente une musique hybride, dépaysée qui serait allée chercher ailleurs le moyen de s’ancrer davantage ici.
Youn Kamm orientalise sa trompette aux parfums de Liban et de Turquie. Yann Le Corre s’est imprégné de forrò brésilien. Jérôme Kerihuel a perfectionné en Inde sa technique de percussions. Quant à Timothée Le Bour, son saxophone vibre comme
un taragot roumain.